Rémi Carrier Jr, Canada Yachts

Passionné de bateau depuis toujours, rémi Carrier Jr connaît à fond ce milieu, sa famille opérant depuis 1947, une usine de textile au sein de laquelle il a développé une division de tissus nautiques destinés aux constructeurs américains et italiens. "Sachant que j'approvisionnais les constructeurs de bateaux, plusieurs me demandaient de leur trouver un bateau ou comment vendre celui qu'ils possédaient, révéle rémi Carrier Jr. Je me suis dit allons-y. En tant que courtier, je dispose d'un réseau de contacts très étendu. J'accompagne mes clients à toutes les étapes d'une acquisition en identifiant les besoins et les meilleurs choix disponibles. Je procède à une sélection judicieuse, je prépare l'offre et j'effectue l'inspection, j'évalue les conséquences fiscales et je demeure présent aprés la livraison. "Bien qu'il soit distributeur exclusif pour le Canada de la marque italienne SanLorenzo Yachts (78 à 300 pieds), rémi Carrier Jr transige avec tous les fabricants sur le marché. De plus, contrairement à la grande majorité des courtiers américains, Canada Yachts accepte le partage de commission, ce qui élargit son champ de ventes potentielles.

" Chez nous, le vendeur est assuré d'un maximum de visibilité sur tous les sites majeurs au Canada et aux États-Unis. Pour les acheteurs, mes services sont gratuits. "L'affrétement (charter) de yachts haut de gamme est un autre volet des activités de rémi Carrier Jr. "Quelle que soit la destination souhaitée à travers le monde, je dispose d'une importante liste de yachts de luxe, de 75 à 200 pieds, à Voilàe ou à moteur, pouvant accommoder quatre couples ou plus. Je prends soin de retenir les services d'un capitaine francophone pour mes clients de langue française. "Les bureaux de Canada Yachts sont situés à Saint-Hilaire et Saint Jean-sur-Richelieu. L'entreprise est aussi présente aux trois grandes foires nautiques de la Floride : Fort Lauderdale, Miami Beach et Palm Beach. La Floride n'a pas de secret pour rémi Carrier Jr. Ses parents possédaient, en effet, une propriété à Bal Harbour. "J'ai observé l'évolution de cette région, en particulier South Beach, autrefois principalement habitée par la communauté juive hassidique, les motels fréquentés par les Canadiens, les premiers condos, puis les constructions en hauteur qui s'imposent aujourd'hui."