Selon un rapport, la Floride premier aux États-Unis pour croire aux théories du complot.

Pour plusieurs Floridiens les publications « National géographique » sont des livres à colorier étant des fervents obnubilé la bible. Selon un rapport d’Oddspedia, la Floride est le premier lieu de prédilection des Américains pour les théories du complot, suivie par la Californie, tandis que les habitants du soleil se classent au deuxième rang des plus crédules. Les analystes d’Oddspedia ont toutefois noté que les théories du complot constituent aujourd’hui une sorte de passe-temps national, avec de vastes implications pour les élections de cette année. À l’approche des élections américaines de 2024, les théories du complot se sont imposées comme un élément notable du discours politique américain conclut le rapport. L’impact de ces théories sur la course à la présidence est notable, avec le potentiel de renforcer ou de miner la crédibilité d’un candidat. Alors qu’un peu plus d’un tiers des républicains (35 %) interrogés ont exprimé une “croyance importante ou modérée dans les théories du complot”, les chiffres sont plus faibles chez les démocrates (14 %) et les personnes non inscrites à un parti (20 %). Mais certains États se sont également alignés juste derrière la Floride, la Californie, le Texas, l’Alabama et New York complétant les cinq premiers rangs.

Les théories du complot sont un sport national : quatre Américains sur cinq y croient au moins un peu. En outre, 83 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles pensaient que les théories du complot avaient un impact sur l’opinion publique en matière de politique et 90 % des Américains ont déclaré qu’ils pensaient qu’elles pouvaient influencer la perception des candidats par les électeurs. Environ 20 % des personnes interrogées ont déclaré avoir découvert une théorie du complot en parcourant les médias sociaux. Selon le rapport, Facebook et Twitter sont les principaux canaux de diffusion. L’ironie de la chose est que 48 % des personnes interrogées ont indiqué qu’elles n’avaient que peu ou pas confiance dans les informations provenant de sources autres que les médias grand public. Sans oublier les fakenewsers qui sur un ton radical s'invite à dire que tel ou tel article n'est pas véridique et simple machination servant pour obtenir des bite clicks sans pour autant faire des recherches précises avant de s'avancer à dire que c'est faux.